1er étage : collections anciennes
Pallier : Georges Turpin vous accueille
Georges Turpin
The museum is named after Georges Turpin, a collector and art lover from Parthenay, a tinsmith and lamp maker, who donated his entire collection to his hometown.
Conceived by the historian Georges Picard, the first museum was inaugurated on 11 November 1935.
Initially housed in the former Saint-Laurent presbytery near the church, it was moved to the former town hall (now the Médiathèque) in 1949, and closed again in 1982.
Since August 1993, the museum has been housed here, at the foot of the Porte Saint-Jacques in the heart of the medieval town, within the Maison des Cultures de Pays.
The collections
The museum was originally built around the Turpin collection of prints, seals, regional ethnographic objects, military weapons and costumes, local archives and posters, and faience of various origins.
Capitals, paintings, sculptures, faience
From 1943 onwards, the rooms were enriched by lapidary donations: capitals, pillars, statues, etc. from destroyed Romanesque churches in the surrounding area. In the same year, the Amelin donation gave the museum a large collection of fine faience made in Parthenay.
A large collection of non-European ethnography completed the collections. With the project for a Fine Arts Museum promoted by the mayor, Robert Bigot, came a succession of deposits from the State - paintings and sculptures - and from the museums of Poitiers and Angers in the post-war period - paintings and drawings -. From the mid-1980s onwards, a number of purchases were made to enhance the collections, principally the photographic collection and the Parthenay faience collection.
The museum acquired the Tricoire collection of postcards and glass plates - notably by Eugène Cordier - from the Poignat and Guyonnaud collections in 1988 and 1989.
The 1988 donation of Eugène Cordier's photographic collection (plates and stereoscopic prints) by his children and grandchildren was an unprecedented event for the local iconographic heritage, and was further enhanced in 2004 by a donation from the family of Paul Eymer.
Archaeological excavations
Archaeological excavations carried out since 1985 have revealed a wealth of artefacts: coins, ceramics, weapons, food waste and small objects that illustrate everyday life.
Regular purchases of Parthenay faience over the last two decades have been marked by the addition to the museum of the Tricoire faience collection, and above all, in 1995, by the acquisition of the exceptional Jouneau "reliquary", presented at the Universal Exhibition in Paris in 1889. Similarly, a global study of the Jurande of Parthenay has led to the collection of numerous pieces of goldsmith's and silversmith's work made during the second half of the eighteenth century in our region.
The collection of paintings is regularly enriched, with painters such as Ernest Pidoux and Edmond Petitjean, who illustrated our region in the late 19th and early 20th centuries.
Even if not everything is on display, the artworks exhibited in this museum provide an overview of the art and history of Parthenay and the Gâtine region from its earliest days.
Écouter l'histoire de l'homme
Historique
Georges Turpin
Le musée porte le nom du collectionneur et amateur d'art parthenaisien, ferblantier et lampiste de son état, Georges Turpin qui légua à sa ville natale l'ensemble de ses collections.
Aménagé par l'historien Georges Picard, le premier musée est inauguré le 11 novembre 1935.
Installé au départ dans l'ancien presbytère Saint-Laurent près de l’église, il est ensuite transféré dans l'ancien hôtel de ville (actuellement la Médiathèque) en 1949, puis refermé en 1982.
Le musée se trouve ici, depuis août 1993, au pied de la porte Saint-Jacques en plein cœur de la ville médiévale, au sein de la Maison des Cultures de Pays.
Les collections
A l'origine, le musée se construit principalement autour de la collection Turpin, composée d'estampes, sceaux, objets d'ethnographie régionale, armes et costumes militaires, archives et affiches locales, faïences d'origines variées.
Les salles s'enrichissent, à partir de 1943, de donations lapidaires : telles que chapiteaux, piliers, statues… provenant des églises environnantes détruites, d'époque romane. La même année, la donation Amelin permet de doter le musée d'une importante collection de faïences fines fabriquées à Parthenay.
Un lot important d'ethnographie extra européenne complète les collections. Avec le projet d'un musée des Beaux-Arts défendu par le maire Robert Bigot, se succèdent des dépôts de l'Etat - peintures et sculptures - et des musées de Poitiers et d'Angers lors de l'après-guerre - peintures et dessins -. A partir du milieu des années 80, de nombreux achats enrichissent les collections, principalement le fonds photographique et de faïences de Parthenay.
C'est ainsi que le musée acquiert la collection de cartes postales dite Tricoire et des plaques de verre -notamment d'Eugène Cordier- issues des fonds Poignat et Guyonnaud en 1988 et 1989.
La donation familiale en 1988 du fonds photographique d'Eugène Cordier (plaques et épreuves stéréoscopiques) par ses enfants et petits-enfants, constitue un événement sans précédent pour le patrimoine iconographique local, enrichi dès 2004 par celle de la famille de Paul Eymer.
Les fouilles archéologiques menées depuis 1985 ont livré un très abondant mobilier : monnaies, céramiques, armes, déchets alimentaires et petits objets qui permettent d’illustrer la vie quotidienne.
Les achats réguliers de faïences de Parthenay, durant ces deux dernières décennies, sont marqués par l'entrée au musée de la collection de faïences dite Tricoire et surtout, en 1995, par l'acquisition de l'exceptionnel "reliquaire" de Jouneau, présenté à l'Exposition Universelle de Paris en 1889. De même, une étude globale sur la Jurande de Parthenay a permis la collecte de nombreuses pièces d’orfèvrerie fabriquées pendant la deuxième moitié du 18e siècle sur notre territoire.
Régulièrement, la collection de tableaux s’enrichit, avec des peintres comme Ernest Pidoux ou Edmond Petitjean, qui se sont attachés à illustrer notre territoire de la fin du 19e au début du 20e siècles.
Ainsi, même si tout n’est pas présenté, les œuvres exposées dans ce musée permettent d'avoir un aperçu de l'art et de l'histoire de Parthenay et de la Gâtine depuis ses origines.